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La Psy

Psychosociologue, psychanalyste intégrative, psychothérapeute (agréée A.R.S.), psychosomaticienne

Depuis toujours j’ai été passionnée par le champ psychologique, par l’énigme que constitue une personne, et par ce qui a fait trauma l’empêchant de déployer son potentiel et d’accéder à un équilibre de vie, à une joie d’être soi, relié aux autres avec une suffisante harmonie.

Partant du plus large, de l’environnement et des groupes en interaction avec la personne, c’est-à-dire du champ de la psychosociologie, je n’ai cessé de me rapprocher du cœur des souffrances.

J’ai travaillé à apporter un cadre, une écoute bienveillante, une pratique de psychothérapeute et d’analyste, de psychosomaticienne, à ceux et celles traversés, mis à mal par les difficultés de l’existence, leurs vulnérabilités pérennes ou passagères, et par les douleurs de vivre. Ceux et celles qui avaient à reconnaître et panser les blessures d’une enfance chaotique, une condition professionnelle ou maritale ou solitaire, éprouvante ou qui devaient se remettre des inévitables accidents de la vie qui nous touchent, blessent plus ou moins et nous laissent parfois un bon moment sur le flanc.

Pertes, deuils, traumas, séparations… ou tout simplement questionnement sur le sens de sa vie, sur les inflexions à lui donner….large est le champ.

C’est pourquoi j’ai ensuite suivi une longue formation de psychothérapeute et de psychanalyste intégrative, c’est-à-dire articulant des méthodes diverses avec les mécanismes et concepts de la démarche analytique.

C’est pourquoi j’ai toujours poussé ma curiosité à travers diverses formations complémentaires mais aussi par un diplôme universitaire en psychosomatique puisque me troublait la question du lien entre le psychisme et le soma, c’est-à-dire le corps. .je m’interrogeais sur la place des émotions et des sentiments dans les maladies somatiques, au-delà du biologique ou du génétique, sur le rôle de la psyché, du psychisme, dans les maladies quand se révèlent par le corps… les bleus à l’âme.

A partir de 2003, j’ai mené mes consultations en libéral à Malakoff (92), puis à Montrouge (94), et depuis 2014, à Montauban, lieu d’un retour aux sources, auprès d’une patientèle variée d’hommes et de femmes, de couples, parfois d’adolescents et d’enfants.

Il s’agit souvent de problématiques dépressives, d’estime de soi défaillante, d’anxiété sociale, de sentiment d’épuisement, de ruptures mal supportées, de difficulté dans les relations amoureuses et de couple, dans la sexualité, de changements déséquilibrants ce qui était stable et semblait acquis.

Parfois c’est la vie professionnelle qui questionne, fait souffrir du fait des relations avec ses chefs, ses collègues, ses clients mais aussi des remises en cause. Il y a des résistances à se mettre en mouvement pour changer, trouver une autre voie pour s’accomplir et recouvrer ses forces, un apaisement, de la sérénité.

J’exerce donc principalement la psychothérapie analytique avec comme cadre de référence principale la psychanalyse freudienne mais aussi nourrie de l’approche lacanienne, en face à face ou sur le divan. J’ai présentes à l’esprit les approches corporelles, systémiques et comportementales. Il ne s’agit pas d’éclectisme mais d’ajuster au patient la méthode, d’utiliser les complémentarités des approches et surtout d’entendre la parole du patient.

Mon approche analytique est donc intégrative et j’ai présent à l’esprit le champ de la psychosomatique.

D’ailleurs plusieurs de mes patients sont venus me consulter par connaissance de cette compétence et parce qu’ils souffraient de troubles somatiques tels que diabète incontrôlé, psoriasis majeur, frigidité, douleurs de la zone uro-génitale, infections urinaires à répétition sans germe…

En effet, à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, durant plus de 10 ans, j’ai assuré une consultation en double avec le professeur BITKER, chef du service d’urologie. À ses côtés je participais aux annonces de cancer ou prenais en charge le patient ou la patiente, à la suite du professeur, quand il s’agissait de troubles psychosomatiques ou d’accompagnement de cancers.

J’assurais également des consultations avec le patient seul ou avec également son épouse, dans le cadre des cancers de prostate avec dysfonctionnement érectile post-opératoire. J’en connais particulièrement bien la problématique.

Ma consultation a assez souvent une composante sexologique quand des patients ont des troubles psychiques à l’origine de douleurs de la zone uro-génitale, des troubles mictionnels ou de la sexualité.

Je reçois également des couples en consultation à deux sur cette problématique.

Des adolescents également sur des problématiques d’inhibition scolaire, d’anxiété sociale, de mal-être…

Les séances durent en général 45 minutes et pour le travail analytique demandent une régularité et fréquence.

Il est, dans certaines conditions, possible d’envisager un déplacement à domicile ou un travail ponctuel sur « skype » ou par téléphone.

Bien qu’étant  reconnue par L’Agence Régionale de Santé, les séances que je conduits ne sont pas prises en charge par la sécurité sociale, sauf exception et accord des mutuelles.